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mairie de vanves - Page 3

  • VANVES ENTRE LE 9.3 ET STRASBOURG : 5 voitures et 2 cyclomoteurs incendiés

    Le maire de Vanves est, de nouveau, confronté depuis quelques jours à des problémes de sécurité. La nuit dernière, de Vendredi à Samedi, a été particulièrement grave, avec 2 cyclomoteurs et  5 voitures incendiées dont une police. Du jamais vu, même une nuit de la Saint Sylvestre, Vanves basculant entre le 9.3 et Strasbourg capitale des voitures incendiées lors du réveillon du nouvel an.  Et fait exprés, la voiture de police incendié tronaît hier matin devant le commissariat, sur le chemin emprunté par tous les vanvéens des Hauts de Vanves qui se rendaient au marché ou à Intermarché.  

     

    Et tout cela, parce que les Pouvoirs Publics ont laissé pourrir la situation depuis l’été 2012 du côté de la rue de Châtillon. Car les 2 cyclomoteurs et 4 voitures privées ont été incendiés autour de la résidence du Logement Francilien, à deux pas de l’école maternelle Claude Lemel. Par des jeunes ( ?), par un court-circuit ( ?) comme certains le laissaient entendre. En tous les cas les pompiers et la police étaient appelés vers 3/4H du matin, Samedi,   par des habitants excédés. Pour la voiture de police, il serait quand même inquiétant de savoir si elle a été incendiée devant le Commissariat, ou si la carcasse a été ramenée après une attaque, un accident. Ce qui ne va pas arranger la situation du parc auto de la police de Vanves/Malakoff qui posait déjà beaucoup de soucis selon le syndicat UNSA Police

     

    La ville de Vanves est actuellement dans une passe très difficile en matière de sécurité, avec ce point très chaud de la rue de Chatillon où une bande d’une vingtaine de jeunes fait la loi depuis l’été dernier. Le commissariat, la ville, le Logement Francilien ont tenté de réagir, se réunissant avec les habitants de cette résidence et du quartier. La Commissaire de police a tenté d’expliquer à des habitants terrorisés et menacés qu’elle avait besoin de leur collaboration. Ce qu’elle a mis du temps à obtenir. Et lorsque la police a été appelée dans la nuit du 8 au 9 Mars, elle n’est même  pas intervenue, envoyant  un véhicule bien après les faits pour voir. Effets désastreux sur les habitants qui ne se sentent soutenus par personne.  

     

    Résultats : Une semaine après, 4 véhicules et 2 cyclomoteurs brûlés.  Et il ne s’agit que d’un quartier de Vanves, car le Plateau est maintenant touché avec des incendies de véhicules dans les parkings, une tentative de ré-occcupation de hall d’immeuble par des jeunes, sans parler de cambriolages chez les commerçants vanvéens. Le prochain bureau municipal (réunissant maire et maires-adjoints) prévu Mercredi en fin d’après midi risque d’être chaud, entre les tenants d’un renforcement de la police municipale ou du statu quo en la matière. Car malheureusement, une ville comme Vanves ne peut pas compter sur l’Etat à cause des restrictions budgétaires, d’effectifs et de moyens concernant la police nationale, mais que sur elle-même.  

  • VANVES FACE AUX INCIVILITES DE LA RUE DE CHATILLON : 9 mois pour agir aprés avoir laisser pourrir ?

    Parmi les trois questions orales posées à la fin du conseil municipal de Mercredi soir, l’une d’entre elle, posée par Valérie Mathey (PS) concernait les incivilités du bas de la rue de Chatillon où les dégradations de véhicules, les feux de poubelles, le rassemblement dans les halls d’immeubles jusque tard dans la nuit, les cambriolages se sont multipliés depuis l’été dernier. Elle souhaitait connaître, suite à la réunion d’information organisée voilà une semaine, avec le locataires, le bailleur social et la commissaire de police, les mesures que la ville comptait prendre pour assurer la tranquillité et la sécurité des riverains.

     

    « Depuis mars 2012, des actes de délinquance ont été commins aux abords de l’école Lemel et de la résidence Normandie (du Logement francilien) : Des feux de poubelles, vols à la roulotte, dégradations de véhicules, dégradations des halls et caves de la résidence…Puis, cette situation s’est détériorée ave l’arrrivée de l’hiver où les fauteurs de troubles se sont réfugiés à l’intérieur de la résidence et ont squatté des halls tout en les dégradant (tags, tapages nocturnes, dégradations des lampes, des escaliers, détritus…) en insultant et en menaçant  les locataires de la résidence qui leur demandaient de partir ou de faire moins de bruit. Le Logement Francilien avait anticipé en Décembre 2012 en engageant 2 maitres-chiens afin que ces derniers patrouillent dans mla résidence pendant plusieurs nuits. Or, pour des raisons budgétaires, ce dispositif de gardiennage, n’a pu être pérénnisé » a constaté dans un premier temps Laurent Lacomére, maire adjoint chargé de la sécurité dans sa réponse.

     

    «  La semaine dernière, le Logement Francilien a divisé les caves en mettant des portes blindées entre chaque parcelle de la résidence et a mis en placedes pass Vigik afin de sécuriser davantage les entrées. Le maire a sollicité le Logement Français pour engager des travaux de sécurisation de la résidence. Parallélement, la police municipale patrouille tous les jours dans le secteur. La police nationale a intensifié ses patrouilles, effectue des contrôles d’identités de manière systématique et verbalise en cas d’infraction (cependant, cela reste du cntraventionnel pour tapage nocturne). Plusieurs contrôles de stupéfiants ont été réalisés » a-t-il indiqué dans un second temps  en revenant sur les décisions prises à la suite de la réunion du 31 janvier : La comune renforcera encore ses patrouilles de police municipale. La police nationale intensifiera également sa présence et ses patrouoilles, notamment la nuit, en opérant des contrôles complets, notamment dans les étages et les caves. Le logement Francilien mettra en place davantage de contrôle d’accés en limitant les entrées extérieures par des dispositifs adaptés. Les locataires et leurs associations n’hésiteront pas  à porter plainte contre les fauteurs de troubles

  • LE NOUVEL EHPAD MAISON DE REPOS ET DE SOINS A VANVES : EXPERIMENTER CERTAINS MODELES DE RELATIONS HUMAINES

    Le Blog de Vanves Au Quotidien revient sur ce projet d’EHPAD Maisons de Soins et de Repos que construit la Compagnie de Jésus sur son terrain vanvéen de la ruer Raymond Marcheron, présenté par Jean Yves Grenet, provincial de la province de France de la Compagnie de Jésus, lors de la première pierre Vendredi dernier.

     

    Il a rappelé qu’une telle maison a existée pendant une quinzaine d’années à Paris, rue de Grenelle, qui avait alors une capacité de 24 lits. Mais en 2008, pour des raisons de sécurité insolubles, d’accès de pompiers, elle a dû être fermée. « Depuis lors, nous éprouvons de réelles difficultés pour assurer à nos religieux une fin  de vie dans un cadre conforme à nos soins et à nos modes de vie, et aux conditions médicales qu’imposent leur situation. Après avoir cherché diverses solutions, l’association immobilière de Vanves (AIV) propriétaire du terrain de la rue Raymond Marcheron, a relevé le défi d’entreprendre toutes les démarches permettant de construire un tel établissement médicalisé qui soit à la fois autonome juridiquement et financièrement, dans la continuité du bâti existant, et à destination de celles et de ceux qui, en accord avec le projet de l’établissement, le demanderont » a-t-il raconté en constatant que les acteurs de l’association n’ont pas chômé pour le parcours soit rapide tant du côté administratif que préparation des travaux.

     

    Le cabinet d’architecte IMMO 55 a travaillé durant l’été 2009 sur le projet, et le maire de Vanves a été informé de ce projet en Septembre 2009 « auquel il a donné tout de suite un accueil favorable et sans réserve. Votre soutien sans faille, vos remarques et suggestions, votre investisssement pour une étape de concertation avec le voisinage, ont été précieux » a-t-il précisé. L’AIV a déposé un dosssier de demande d’ouverture en Décembre 2009 auprés du Comité Régional de l’Organisation Sociale et Médico Sociale d’Ile de France (CROSEMES) qui rendait un avis fabvorable au printemps 2010. Entretemps, une demande de permis de construire en Janvier 2010 était déposé auquel il était répondu favorablement à la fin de l’été 2010. Le Conseil Régional a participé à l’investissement en Octobre 2010. L’arrêté autorisant la création de l’EHPAD était signé en Décembre 2010 conjointement par le directeur générak de l’ARS et le président du Conseil Général des Hauts de Seine qui a donné son agrément pour un prêt locatif social en décembre 2010. Et la mairie donnait son accord à une caution du prêt en Avril 2011 au côté du conseil général. Enfin, la Province de France de la Compagnie de Jésus s’était engagé à ce que l’AIV soit dotée en fonds propre pour lui permetre d’apporter les subventions nécessaires pour compléter les autres financements. En paralléle, des appels d’offres étaient lancés pour aboutir au chouix de Paris Ouest Construction, entreprise général, pour la réalisation du chantier.

     

    Il a souligné deux aspects de ce projet : « l’AIV a inscrit sa démarche dans le contexte du Grenelle de l’Environnement, car ce bâtiment répondra aux exigences du conseil régional sur le plan énergétique et environnemental. Une démarche est en cours pour avoir la certification habitat et environement Profil A avec le label Effinergie. Tant dans les plans, l’organisation   du chantier, les choix de matériaux…ont été afectés par ses orientations » a-t-il indiqué en ajoutant que « le choix a été fait de construire une petite structure de 27 lits (24 médicalisés, 2 convalescents et 1 de passage) mitoyenne d’une communauté religieuse. Ce choix n’est pas sans signification quant à une vision de société, ni sans répondre à quelques enjeux. Dans un contexte national visant à  des économies d’échelles, des regroupements entre EHPAD, des rationalisations dans la gestion, un tel choix peut étonner. Certes, cette maison s’insérera dans la réglementation, et évoluera avec elle. Pour son fonctionnement, elle passera une convention tripartite avec les partenaires publics. Elle aura à trouver des réseaux et des soutiens au niveau national, et notamment au travers du réseau des 4 maisons médicalisés des Jésuites de France, des collaborations au niveau régional et local, notamment  avec les trois EHPAD voisins  de statut variés tant sur le plan santé et animation, devront être recherché ».

     

    Enfin, Jean Yves Grenet a expliqué que « dans le même temps, les choix fait par la taille et sa localisation, montrent la volonté d’expérimenter certains modéles humains avec  des systémes de relations ( avec les structures éducatives de jeunesse, en terme de lecture, soutien scolaire, visites, goûters, animations, travaux intellectuels), avec l’ouverture de lieux communs à des personnes extrérieurs, avec la richesse des parcours antérieurs des résidents, avec le choix de donner leur vie qui a marqué leur existence. Ce voisinage doit constituer à ce que la dernière étape ici-bas qui donne un visage particuilier à la quête spirituel de l’humanité, soit pour chacun, à la hauteur de ce qui se révéle possible, un nouverau temps d épanouissement et d’ouverture à la plénitude la vie ». Et de précise que « si, au démarrage, cet établissement recevra sans doute presqu ’uniquement des jésuites, étant donné les besoins à satisfaire, il recevra volontiers dans la mesure des places disponibles, des hommes et des femmes qui voudront rejoindre son projet »